Les femmes initiées qu’on appelait l’ordre des Madeleines étaient en fait des femmes esséniennes, de grandes prêtresses et druidesses qui avaient suivi des formations au sein d’un temple dévoué à Isis et qui honorait la déesse. Ces femmes apprenaient à honorer la déesse à travers leur corps. Elles apprenaient à stabiliser leur fréquence énergétique. L’ancrage était leur première leçon. Elles apprenaient de nombreuses manières de connecter leur corps au corps de la Terre afin de se fondre dans sa matière et son éther, de communier avec elle. Grâce à cet ancrage puissant, elles savaient nettoyer leur corps énergétique, purifier ce qui pouvait encombrer leur champ, comme des contrariétés ou des émotions. Ce travail de nettoyage de leur énergie leur permettait de stabiliser leur champ vibratoire de base et l’ancrage profond leur permettait d’explorer de hauts état profond leur permettait d’explorer de hauts états de conscience. Elles avaient également été formées dans des sanctuaires druidiques (Avalon). Elles honoraient les 5 éléments. Des exercices leur apprenaient à se connecter à ces éléments, à comprendre leur place et comment ils s’intégraient avec leur propre corps. Elles apprenaient également le pouvoir des plantes. Rencontrer leur esprit, communiquer avec eux et travailler avec leur pouvoir et essence en fabriquant des onguents pouvant guérir les gens. Ces femmes étaient initiées et apprenaient à recevoir et canaliser leur force sexuelle. Elles apprenaient à faire circuler et déployer la puissance féminine. La kundalini était à l’époque la médecine principale pour équilibrer les corps physiques. Ces femmes étaient l’incarnation même du féminin divin, cet élan que nous ressentons actuellement, afin de reprendre contact avec notre puissance intérieure. Les initiées découvraient leur sexualité dans la communion avec tout le vivant.